Afin de savoir si les fils répondent aux conditions normales de fabrication et de vente, les tisserands utilisent des instruments de mesure.
Le dynamomètre permet d’évaluer le point de rupture, c’est-à-dire la tension maximale que peut supporter un fil avant de casser. Grâce à lui, il est également possible de mesurer l’allongement du fil pour connaître son « élasticité ». Le tisserand peut ainsi appliquer une tension satisfaisante au moment du tissage.
Cet instrument était utilisé par la société berjalienne Sportis et Jean Laurent jusque dans les années 1980. Cette dernière habilla les participants français aux jeux olympiques de Grenoble.